bornes de la conscience

Ma prochaine exposition s'effectuera à la librairie café La Préface à Briey sur une durée de 1 mois. Celle-ci comptera ma production de juin à août 2011, ainsi que des travaux antérieurs à cette période, consultables sur place. Le vernissage aura lieu le Vendredi 2 Septembre 2011 , à 18h, à la Préface , 1, Place Thiers 54150 BRIEY (en direction du plan d'eau) http://lapreface.blogspot.com/ Je serais ravi de vous y retrouver. Julien Nigault

Article de Cathy Orlando Julien Nigault au café galerie de printemps de l’atelier des près à Pareid Bercées par le doux vent de mai, auréolées du soleil printanier déjà chaud pour la saison, les peintures de Julien se fondent dans le cadre bucolique du jardin de Béatrice et Olivier BELOT-LE DELEY. Accrochées sur un fil entre deux arbres, adossées aux troncs ou posées au pied des fleurs, elles font corps avec le paysage et offrent à ce cadre verdoyant une décoration somptueuse. L’ensemble ne manque ni de charme ni d’ingéniosité. Il y a une évidence dans cette rencontre, la peinture grandeur nature, la nature grandeur peinture…. Le créateur, Julien NIGAULT, jeune jarnysien, se dit ravi de cette exposition au sein d’un tel cadre naturel, humain et bienveillant. L’histoire remonte aux années collège où Béatrice, alors professeur de dessin, perçoit la sensibilité artistique de Julien. L’année dernière, une rencontre fortuite a permis de renouer des liens et de concrétise

Pareid. 22-23 mai 2011. Exposition événementielle à l'Atelier des Prés sur deux jours venteux et ensoleillés de l'avant-dernier WE du mois de mai 2011.   Souffler ses rêves, cracher ses petits fantômes, créer la sensation de vertige permanent, inverser les pôles d’une perception ubuesque du monde  -D.A L 'exposition aurait pu commencer dans un rayon de 5 km autour de Pareid .Les vergers, les fleurs printanières, les arbres aux bords des routes et les oiseaux sur de vieux calvaires semblaient approuver le chemin qui menait au café-galerie de Béatrice et Olivier Ledeley-Belot. Ces derniers présentèrent 80 peintures dont ils firent le choix soigneux dans l'ensemble de ma production. Elles furent fondues dans l'espace végétal, épinglées sur des cordes tirées entre les arbres, et collées à des cartons peints dressés le long des chemins parcourant le jardin dont je disposais, évoquant ainsi des stèles. Au cours de cette promenade figuraient plusieurs endroit